Selon la légende, ce sport est apparu lors d’un combat entre le Dieu du tonnerre “Takemikazuchi” et le Dieu du vent “Takeminakata”.
Ensuite, les japonais le pratiquaient pour obtenir la faveur des dieux et une récolte fructueuse.
C’est au 17e siècle que les tournois de sumo ont pour objectif de divertir la classe aisée du Japon.
Vus comme des demi-dieux, les lutteurs effectuent des rites avant de commencer chaque combat.
Le sumo jette du sel sur le dohyō (espace de combat) afin de le purifier.
Avant la lutte, les sumos tapent leurs mains afin d’attirer l’attention des dieux.
Aussi, ils tapent le sol avec leurs pieds pour chasser les mauvais esprits.
Ils pèsent entre 90 et 160 kg et s'affrontent en fonction de leur poids et grades (yokozuna = plus haut grade).
Rythme de vie : entraînement, repas, sommeil. Le sumo mange 2 repas (copieux) par jour et dort directement après pour accumuler plus de graisse. Le plat favori du sumo : le chankonabe, un bouillon de légumes et de protéines (viandes, tofu etc...), servi en grandes quantité avec du riz et de la bière pour augmenter l'apport calorique.
Les futurs sumotoris professionnels s’entraînent dès 15 ans.
82 prises sont autorisées, permettant aux lutteurs de pousser l’adversaire en dehors du tatami ou pour basculer le lutteur adverse au sol.
Chaque année, il y a 6 tournois dans le pays. La plupart se déroulent à Tokyo devant plus de 10 000 spectateurs.
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